HOUSE
OF COMMONS
FIRST SESSION 38th PARLIAMENT
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Order Paper
and
Notice Paper
No. 125
Monday, September 26, 2005
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Q-1782
— September 22, 2005 — Mr. Breitkreuz (Yorkton—Melville)
— With regard to the statement made by the Deputy Prime Minister
and Minister of Public Safety and Emergency Preparedness on June 16,
2005, that “since December 1, 1998, more than 13,500 individual
firearm licences have been refused or revoked. The program is accessed
over 2,000 times a day by front line police officers”: (a)
how many of the firearms licences were refused or revoked because
the person had committed criminal offences, were placed under prohibition
orders, restraining orders, bail conditions, and/or committed other
violent acts that were reported to police; (b) how many firearms
licences were refused or revoked because of the information provided
by the applicant on the licence application; (c) how does
the program track the addresses of these 13,500 now too-dangerous-to-own-firearms
persons once their firearms licences have been refused or revoked;
(d) how does the Minister know that the program is actually
being accessed by “front line police officers”; (e)
what specific types of information in the system are actually being
accessed and accessed most often by police; and (f) how many
times per day do the police actually get information from the system
compared to not-in-the-system responses? |
Q-1782
— 22 septembre 2005 — M. Breitkreuz (Yorkton—Melville)
— En ce qui concerne la déclaration de la vice-première
ministre et ministre de la Sécurité publique et de la
Protection civile, qui a dit, le 16 juin 2005 : « depuis le
1er décembre 1998, plus de 13 500 permis d'arme à feu
individuels ont été refusés ou révoqués.
Les policiers qui se trouvent en première ligne consultent
les données du programme plus de 2 000 fois par jour »
: a) combien de permis ont été refusés
ou révoqués parce que la personne concernée avait
commis un acte criminel, faisait l’objet d’une ordonnance
d’interdiction, d’une injonction restrictive ou d’une
libération sous caution, ou avait commis d’autres actes
violents signalés à la police; b) combien ont
été refusés ou révoqués en raison
de l’information fournie par le demandeur sur la demande de
permis; c) comment le programme suit-il les adresses de ces
personnes trop dangereuses pour posséder une arme à
feu après qu’on leur a refusé ou révoqué
un permis; d) comment la Ministre sait-elle si les policiers
« qui se trouvent en première ligne » utilisent
effectivement le programme; e) précisément
quel genre d’informations vont-ils chercher dans ce programme
et quel genre d'informations demandent-ils le plus souvent; f)
combien de fois par jour les policiers obtiennent-ils effectivement
de l’information par le biais du programme comparativement aux
informations qu’ils obtiennent ailleurs? |
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