Vous avez probablement entendu dire que le gouvernement libéral demande aux entreprises d’armes à feu de participer au ” Programme provisoire de neutralisation des armes à feu ” du Programme canadien des armes à feu.
Ce que vous n’avez probablement pas entendu, c’est pourquoi.
La CSSA a appris de deux sources fiables que le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, annoncera bientôt que la seule façon de conserver les armes à feu qui ont été interdites par son décret du 1er mai 2020 est de les désactiver d’abord OU d’installer un système d’alarme surveillé. Pour cette raison, les Fédéraux prévoient qu’un grand nombre de désactivations auront lieu.
Le gouvernement n’a ni confirmé ni infirmé cette condition de neutralisation pour conserver les armes à feu nouvellement interdites au lieu d’accepter la compensation pour la confiscation des armes à feu.
Cependant, le fait que nous l’ayons appris de sources fiables, combiné à l’effort massif du gouvernement libéral pour mettre en service immédiatement de nouveaux désactiveurs, signifie que c’est probablement vrai.
De plus, en vertu du Code criminel, si l’alarme est envoyée à la police, celle-ci peut entrer dans la maison sans mandat pour déterminer la cause de l’alarme.
Cela a-t-il toujours été le plan du gouvernement libéral ?
Ou a-t-il cédé aux pressions de groupes d’intérêts spéciaux qui ne connaissent rien aux armes à feu mais qui insistent pour que toutes les armes à feu soient interdites de toute façon ?
Le 13 mars, l’ACAA a envoyé un avis urgent à toutes ses entreprises membres, leur demandant instamment de ne pas participer à ce programme.
“En vous inscrivant à ce programme, vous pourriez être identifié et promu comme une entreprise où les propriétaires d’armes à feu peuvent apporter leurs armes à feu désormais interdites pour les désactiver ou, à l’avenir, comme un lieu de dépôt pour ceux qui souhaitent participer au programme de rachat”, a écrit Alison de Groot, directrice générale de la CSAAA.
Selon la CSAAA, il n’y a que 78 entreprises d’armes à feu dans tout le pays qui sont autorisées à désactiver les armes à feu à autorisation restreinte et prohibées, il est donc évident que la demande pour ce service est faible.
Le gouvernement libéral croit-il vraiment que les détaillants d’armes à feu se précipiteront pour participer ?
Le gouvernement libéral croit-il vraiment que les détaillants d’armes à feu qui ont fidèlement servi notre communauté depuis des générations se transformeront en Judas pour 30 misérables pièces d’argent libérales ?
Ce sont des gens qui ont passé leurs journées à servir et à interagir avec la communauté légale des armes à feu du Canada.
Les libéraux sont-ils stupides au point de croire que nos propres concitoyens peuvent être achetés à si bon marché ou s’agit-il simplement d’une démonstration du peu de valeur que les libéraux accordent à la loyauté et à l’intégrité ?
Pensez à Jody Wilson-Raybould et Jane Philpott.
Ne cesseront-elles jamais de juger le monde à l’aune de leurs normes méprisables ?
Nous l’espérons, car il est grand temps qu’ils voient les propriétaires d’armes à feu et les entreprises canadiennes titulaires d’un permis pour ce qu’ils sont vraiment : des hommes et des femmes honnêtes et intègres qui refusent de se jeter mutuellement sous le bus pour le premier dollar qui passe.
PS: Les poteaux de but toujours changeants
La ” méthode approuvée ” pour désactiver les armes à feu a changé de nombreuses fois au cours des trois dernières décennies. Le problème n’est pas tant que les règles changent sans cesse.
Le problème est que si vous possédez une arme à feu neutralisée en vertu d’un ensemble de règlements antérieurs, cette arme à feu peut ne pas être considérée comme neutralisée par les règlements de neutralisation actuels.
Selon l’avocat général de la CSSA, Edward Burlew LL.B., cela vous expose, en tant que propriétaire de ce que vous pensez être une arme à feu neutralisée, à des accusations criminelles pour possession illégale d’une arme prohibée.
Il ne s’agit pas d’une opinion ou d’une spéculation. Il s’agit d’un fait basé sur l’expérience de nombreux propriétaires d’armes à feu qui se sont retrouvés face à des accusations dans cette situation précise.
Êtes-vous prêt à confier votre avenir et votre liberté à un autre mensonge libéral ?